Vos observations en mer

Que faire pour aider les scientifiques qui s’occupent des sanctuaires marins ?

Si vous naviguez dans Le sanctuaire Pelagos *, vous avez des chances de faire des rencontres intéressantes. Il y a des sites qui vous expliquent les protocoles à suivre pour que vos observations puissent être prises en compte.
https://www.observatoire-pelagis.cnrs.fr/wp-content/uploads/2022/04/PROTOCOLE_OBSERVATION-2022.pdf

Si vous naviguez vers La Réunion, Le programme de Sciences Participatives « KODAL » permet à tout photographe d’alimenter le catalogue de nageoires caudales de baleines à bosse migrant chaque saison à La Réunion durant l’hiver austral.La face ventrale de la caudale des baleines à bosse présente des caractéristiques uniques qui permettent d’identifier chaque individu et d’effectuer des rapprochements (recaptures), d’une saison à l’autre ou d’une île à l’autre dans l’océan indien.
Contribuez à nos suivis scientifiques en envoyant vos photos en résolution maximale à photoID@globice.org et, en cas de première identification, proposez un nom pour votre baleine ! Pour réussir vos photo-ID de caudales, consultez le tutoriel  ci-dessous.

Posters des mammifères marins

* Au large des côtes de la Presqu’île de Giens et des îles d’Hyères, le sanctuaire Pelagos est un espace maritime de 87500 km² faisant l’objet d’un Accord entre l’Italie, Monaco et la France pour la protection des mammifères marins qui le fréquentent.

Star Link pour débutants…

Star Link pour débutants…

Passage d’un train de satellites au-dessus de Tübingen

Starlink est un fournisseur d’accès à Internet par satellite de la société SpaceX qui s’appuie sur une constellation de satellites comportant des milliers de satellites de télécommunications placés sur une orbite terrestre basse.Pour atteindre ses objectifs commerciaux, SpaceX prévoit de disposer vers 2025 de 12 000 satellites, chiffre qui doit être porté à terme à 42 000. Plusieurs sociétés concurrentes ont prévu de mettre en service des constellations analogues. OneWeb est la plus avancée.

Pour utiliser les services Starlink l’utilisateur dispose d’un terminal conçu et vendu par SpaceX, qui comprend une antenne à installer à l’extérieur, un routeur Wifi et un boîtier raccordant l’antenne et le routeur. L’antenne doit être installée à l’extérieur dans un environnement dégagé pour permettre l’établissement de la liaison avec un des satellites de la constellation Starlink. L’antenne utilise conjointement un système de pointage électronique et mécanique pour pouvoir maintenir la liaison avec les satellites qui se déplacent très rapidement dans le ciel : un satellite donné se déplace rapidement et ne reste visible au maximum que durant huit minutes.

La viabilité économique de Starlink dépend de nombreux facteurs dont le coût de fabrication des satellites, celui des terminaux utilisateurs, le coût de lancement en orbite, la concurrence des fournisseurs d’accès utilisant des réseaux terrestres et les performances effectives du système.

Enjeux stratégiques

Consciente de l’importance stratégique que constitue le réseau Starlink, la Chine s’intéresse de près à ce système, dans un objectif de surveillance et possiblement de destruction des satellites le composant. Starlink est en effet utilisé par l’armée américaine pour augmenter la vitesse de transmission des données dans l’armée de l’air ainsi que pour le contrôle des drones. Par ses 2 000 satellites en orbite basse en 2022, Starlink représente un important potentiel militaire.

Les satellites en fin de vie sont dirigés vers le point NEMO ?

L’expérience de Lionel                                      29 août 2023

Petit point sur la météo, Starlink et mouillage.
Météo Caraïbes
Site le plus utilisé :               https://www.meteo-tropicale.fr/
Avec en vidéo sur YouTube, l’analyse des différents modèles météo avec des explications très détaillées et l’annonce des risques cycloniques du NHC. Nouvelle vidéo diffusée le dimanche et accessoirement, en cas de risques, tous les jours précédant ce risque.
Autre site bien utilisé :            https://www.windy.com/?14.591,-61.003,8
Et d’autres qui peuvent servir aussi :
Starlink :
J’ai mis mon antenne à plat dans le cockpit et ça fonctionne bien.
Sauf en cas de pluie ou gros nuage au dessus du navire, où ile signal n’arrive pas à traverser ce foutu nuage. Ceci même avec l’antenne sur sa motorisation … Sinon, 15mn après l’alimentation sur ON, le réseau est définitivement accessible.
Je suis actuellement à Carriacou où les moustiques sont au garde à vous en attendant le couché et le levé du soleil pour attaquer !
Mouillage :
Depuis mon départ, j’utilise un téléphone non connecté (pas de carte sim) avec l’appli « Anchor » qui fonctionne très bien juste avec le GPS du téléphone.
L’édition 2023 du Bol d’Or

L’édition 2023 du Bol d’Or

L’édition 2023 du Bol d’Or du 10 et 11 juin

Prévisions :des conditions extrêmement légères
Les conditions de vent très légères avaient déjà conduit à 82 abandons au moment où les premiers bateaux franchissaient enfin la ligne d’arrivée à Genève. La météo devrait toutefois évoluer positivement dimanche matin avec une légère bise au programme. Les concurrents ont jusqu’à 16h pour rejoindre la Nautique.

Au terme d’un final longtemps indécis, Christian Wahl s’est imposé lors l’édition 2023 du Bol d’Or le 10 & 11 juin , après 17h14 de course !
Après ses succès de 2018 et de 2022, le skipper de W-Team remporte définitivement le Trophée du Bol d’Or.

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Encore devancé à l’entrée du Petit Lac, W-Team a battu de 18’20 le M2 Swiss Medical Network (Victor Casas) après 17h14′ de course pour couper la ligne à 3h14 du matin.

La 3e place est revenue au M2 Patronium (Loïc Preitner) qui a été doublé à… 10 mètres de la ligne d’arrivée par M2 Swiss Medical Network.

« C’était une course très difficile, qui s’est finalement jouée au large de Coppet« , a expliqué Christian Wahl aux organisateurs de la course. « Nous étions alors trois bateaux séparés par dix mètres, avec Realteam Sailing et Patrimonium. Nous sommes parvenus à nous glisser sous Realteam Sailing et à creuser un léger avantage, que nous avons ensuite conservé jusqu’à la ligne d’arrivée ».

Raffica encore sacré chez les monocoques

Dominateur lors de la majorité de la course, le TCFX 35 Real Team (Jérôme Clerc) a finalement terminé 4ème.

L’équipage avait pourtant pris le parti de remplacer ses foils par des dérives traditionnelles au vu des conditions météorologiques très légères. Une option qui s’est avérée favorable, mais qui n’a pas suffi face à la science de la course du « Sorcier du Lac ».

Le Psaros 40 Cellmen Ardentis a dominé l’essentiel de la course, franchissant la marque de mi-parcours en tête avant de finalement céder sa place à l’inévitable Libera hongrois Raffica, qui a franchi la ligne d’arrivée à 5h20 du matin.

Zsolt Király et son équipage, qui avaient remporté définitivement le Bol de Vermeil l’an dernier, décrochent leur 4 ème victoire consécutive.